martes, 23 de agosto de 2011

Le digestif






Les digestifs servis en toute fin de repas à côté du café sont aujourd'hui en perte de vitesse. Il n'empêche que le « pousse-café » est souvent apprécié par quelques connaisseurs ! Quelques conseils pour bien choisir !
Calvados, cognac, fine et autres eaux de vie sont aujourd'hui de moins en moins proposés par les restaurateurs. Pourquoi ? En fait la perte de vitesse de ces alcools forts est surtout liée à la peur d’avoir une amende sur la route. Souvent très fortement alcoolisés, les digestifs sont de plus en plus remplacés par des produits moins forts mais plus goûtés comme des crèmes ou des liqueurs. Dans tous les cas, les digestifs doivent être consommés avec modération !

Pour les vrais connaisseurs, la consommation d'un digestif de grande origine est tout un art ! Les vrais amateurs dégustent le breuvage selon un rite bien orchestré. La couleur déjà est observée en préambule. Du plat de la main, le connaisseur fait tourner le breuvage dans le verre pour en admirer la robe dorée. Le nez ensuite prépare les papilles. Les arômes des grands crûs de calvados ou de cognac sont uniques.
La plupart des digestifs doivent être servis à température ambiante. La dégustation se fait après avoir chauffer le verre dans la paume de la main. Les vapeurs d'alcool se dispersent pour mieux concentrer dans le verre l'âme même de l'alcool. Les liqueurs quant à elles se dégustent plus simplement dans un verre adapté, de petite contenance.

Les grands digestifs sont comme les grands vins de garde : plus la bouteille est ancienne et plus les arômes sont intenses. Si les vrais amateurs apprécient tout particulièrement les grands millésimes de cognac, d'armagnac et de calvados, ce type de produits forts est rarement apprécié des palais peu expérimentés. Les arômes sont alors à aller chercher dans d'autres flacons moins prestigieux comme la Marie Brisard, la liqueur de Bénédictine ou encore des préparations plus locales comme le Génépi par exemples. Les notes fleuries plus fraiches sont principalement recherchées ainsi que les arômes mentholés ou poivrés. Selon les envies, le digestif peut se prendre sur un sucre pour en adoucir le goût ou encore mélangé au café.

le cocktail








Pour résussir un cocktail de plusieurs couleurs sans les mélanger


Un cocktail ou un coquetel est un mélange de boissons et d’éléments aromatiques et décoratifs en quantité variable. Ils contiennent souvent de l'alcool, mais de très nombreuses recettes en sont dépourvues.
Les cocktails se sont répandus à la fin du XVIIIe siècle en Angleterre et aux États-Unis. Leur consécration vint pendant la prohibition aux États-Unis dans les années 1920 : l'ajout d'une autre boisson permettait de masquer le goût d'un alcool de contrebande de mauvaise qualité.
Jusqu'aux années 1970, les cocktails étaient surtout faits à base de gin, de whisky et de rhum, plus rarement à base de vodka. Au début des années 1980, la vodka est la base la plus répandue des cocktails, remplaçant souvent le gin.
Quand le mélange d'un cocktail est préparé et conditionné dans le but commercial, il peut être soumis à une réglementation. On parlera alors de prémix. Les mistelles non plus ne sont pas des cocktails.
Le terme désigne aussi, par métonymie, une réception au cours de laquelle sont servies des boissons, dont des cocktails. Le cocktail en France, appelé autrefois cocktail party, est une réception, où les invités se tiennent généralement debout, à l'inverse d'un dîner placé. Cette réception commence généralement vers 19 heures et précède le dîner, s'il y en a un, et ne le remplace jamais. Les boissons sont accompagnées de petits fours, salés ou sucrés, parfois de canapés, de biscuits secs, ou de cacahuettes, et divers mélanges secs. On organise parfois un buffet, ou un bar, où l'on se sert. Les invités sont également servis par des domestiques apportant des plateaux, lorsqu'il s'agit d'une réception formelle.
Par traduction directe de l'anglais, « cock » veut dire « coq » et « tail » : « queue ». Plusieurs théories, toutes plus ou moins plausibles, sont en lice pour expliquer l'origine du mot « cocktail ». Par exemple « cocktail » viendrait de la contraction de « peacock tail » (en français : « queue de paon ») compte tenu de sa couleur.
La plus répandue explique que l'on attachait la queue des chevaux de trait pour la tresser, mais pas aux pur-sang. Le terme « cocked-tail » (littéralement « queue tressée ») qui désignait de tels chevaux a ensuite évolué, prenant le sens plus général de douteux, bâtard, pour enfin désigner une boisson issue de mélanges.
D'autres disent que la coutume voulait que l'on plaçât une plume (sans doute une plume de coq) dans une boisson pour servir de décoration et pour indiquer la présence d'alcool. On dit aussi que le mot anglais serait une déformation du mot français « coquetier », qui aurait été utilisé comme récipient pour servir les cocktails à La Nouvelle-Orléans au début du XIXe siècle. Certains situent l'origine du mot au Mexique : « Coctel » était le nom d'une princesse dont le père fabriquait des mélanges mystérieux.. Pour ces raisons, l'OQLF a adopté la graphie « coquetel ». Boris Vian avait auparavant proposé l'orthographe « coquetèle »
Selon une autre légende, la fille d'un cabaretier américain qui, ayant perdu son coq à la queue si colorée, offrit un breuvage à l'homme qui le retrouva et baptisa cette boisson cocktail (« Queue de coq »). Certains philologues farfelus vont jusqu'à imaginer dans ce mot, l'altération de Xochitl, nom d'une prétendue princesse aztèque, créatrice de fabuleux breuvages.
Enfin, les derniers placent l'origine du mot dans un contexte de charme et de séduction. En effet, par tradition un cocktail ne se boit qu'à la paille et est réservé à la gent féminine, ce qui donne un spectacle qui laisse ainsi l'imagination des hommes à tous les fantasmes. On appelle « Virgin Cocktail » (« Cocktail vierge ») un cocktail sans alcool.
Il est possible de distinguer deux grandes catégories de cocktails
Les long drinks ou boissons allongées5 ; boissons longues de 12 à 25 cl (apéritifs et autres).
Les short drinks ; boisons courtes de 7 à 10 cl (apéritifs, digestifs).
Elles mêmes divisibles en sous-catégories
Long drinks
Les Cobblers : : long drinks préparés dans un tumbler rempli de glace, à base de vin ou de spiritueux.
Les Coolers (anglicisme) ou les panachés de vin5 ou boissons uvales : boisson allongée à base d’eau-de-vie, de jus de fruit, de sucre se prépare au verre à mélange puis allongé de vin pétillant.
Les Collins : Long drinks rafraîchissants préparés dans un tumbler. Toutes les eaux-de-vie peuvent être utilisés avec du sucre, du jus de citron et du soda.
Les Cups : Long drinks à base de fruits de sucre et de liqueur complétez de d’alcool pétillant, de vin ou de soda au moment de servir.
Les Egg Nogs (anglicisme) ou les Laits de poule5 : Long drinks chauds ou froids se préparant avec un œuf, du sucre, un alcool de base et se complétant avec du lait saupoudré de noix de muscade.
Les Fizzes : long drinks préparés au shaker avec du sucre, le jus d’un citron, un alcool de base et allongés avec du soda.
Les Grogs : long drinks chauds à base d’un alcool de d’un liquide non alcoolisé chaud.
Les High Balls ou les Whisky-sodas : long drinks composés d’un alcool de base allongé d’un soda.
Les Juleps : long drinks à base de menthe fraîche d’un alcool de base préparé dans un verre rempli de glace.
Les Short drinks
Les After-dinner ou les coquetels-digestifs : Tous les mélanges à base de liqueur digestive.
Les Daisies ou les pâquerettes5 : short drinks se préparant au shaker ayant pour base, un trait de grenadine, le jus d’un demi citron et un alcool de base. Compléter d’un soda.
Les Flips : boissons mi-longues qui peuvent se servir froides ou chaudes. Préparer au shaker base de vin de jaune d’œuf de sucre.
Les Shooters, les culs-secs ou les rasades cocktails de quelques centilitres d’alcool fort bu d'un seul trait.
Les Sours : short drinks préparés la base est : du sucre, un jus de citron plus un alcool de base
Les Fixes, le Hot buttered, les Mulls, les Punches, les Pousse café, les Sangarées, les Slings, les Smashes, les Toddies sont des appellations n’ayant plus qu’un aspect historique.
Présentation décoration
La présentation du cocktail est une étape importante dans sa réalisation.
Le barman dispose de plusieurs outils lui permettant la mise en valeur de sa réalisation dont
Le mélange de liquides de densité différente pour obtenir un effet d’arc-en-ciel dans le verre
Le givrage du verre : sel, cacao, sucre
L’ajout d’ustensiles plus ou moins utiles : petites ombrelles, paille(s), cuillère à mélange, touillettes
Le saupoudrage des cocktails mousseux d’épices, de chocolat, de sucre
Décorer le bord du verre de morceaux de fruits : orange, citron
Ajouter dans le verre fruits et/ou légumes : olive, oignon, morceaux de pomme
Varier le verre, utiliser des verres originaux : noix de coco, verres personnalisés
Poser sur les bords du verre des mini brochettes de fruits


L'apéritif



Un apéritif, ou familièrement un apéro est une boisson, le plus souvent alcoolisée, servie avant le repas dans certaines cultures afin d'ouvrir l'appétit. L'apéritif est souvent bu après avoir trinqué, selon la tradition. Sont choisies en général des boissons à base de plantes connues pour leur vertus apéritives, comme l'anis.


L'apéritif désigne par extension la collation qui peut précéder le repas. Cela englobe alors les amuse-gueule, parmi lesquels les plus classiques sont les pistaches, les chips ou les cacahuètes. Par extension, l'apéritif s'applique à tous les aliments (petits gâteaux, fruits découpés, olives, charcuteries, tapas, fromages et autres assortiments variés) qui sont servis en accompagnement de cette boisson, ce qui correspond au concept de tapas et à celui des zakouski russes.
Enfin, l'apéritif désigne le moment de convivialité (le lieu de sociabilité) où des personnes se retrouvent pour consommer ces boissons et ces aliments en discutant, même sans qu'il soit prévu de prendre un repas en commun ensuite. À ce titre, l'apéritif est aussi un repas léger, où peuvent également être consommés des cocktails


Ce mot vient du latin apertivus, dérivé de aperire qui signifie « ouvrir ».


Au Moyen Âge, où certaines boissons alcoolisées étaient encore réservées à un usage médical, on buvait au début du repas une boisson à base de vin et de plantes aromatiques (vin de sauge) ou de vin et d'épices comme le clairé (« Viandier » de Taillevent, édition de 1486. L'hypocras, à base de vin rouge, est un digestif pour fins de repas).


L'apéritif moderne a été popularisé, en 1846, par Joseph Dubonnet, chimiste français, qui élabora une boisson à base de vin et de quinine pour lutter contre le paludisme. Ce médicament ayant un goût amer, il le masqua avec une décoction d'herbes et d'épices à la saveur forte. Les soldats de la Légion étrangère l'utilisèrent dans un premier temps dans les marécages infestés de moustiques en Afrique du Nord. Puis l'épouse de Joseph servit la première la potion en apéritif auprès de ses amis, et le bouche à oreille assis la popularité du Dubonnet.

Des documents d'archives montrent, cependant, que l'apéritif est apparu en 1786 à Turin. Un dénommé Antonio Benedetto Carpano inventa un vermouth dans cette ville. Des années plus tard, des vermouths furent commercialisés par des maisons comme Martini, Cinzano et Gancia.

Au cours du XIXe siècle les apéritifs se buvaient couramment en Italie, où ils étaient servis dans les cafés à la mode. Cette mode se répendit dans toute l'Europe. Au début des années 1900, ils passèrent l'Atlantique pour conquérir les États-Unis et l'Amérique latine.
En considérant ces produits selon leur titre alcoolique, on distingue :
les produits à titre alcoolique élevé (généralement plus de 40% de vol.) :
purs : whisky, whiskey, bourbon ;
mélangés : fine à l'eau (cognac), gin-fizz, pisco sour, punch, pastis — l'apéritif par excellence de la région de Marseille —, anisette — populaire parmi la communauté des Pieds-Noirs, accompagnée de la kémia ;
les produits à titre alcoolique intermédiaire (généralement plus de 16 % vol.) :
o anisette ;
Gentiane jaune ;
vins parfumés, au titre éventuellement relevé par ajout d'alcool (quinquinas, pousse d'épine, guignolet, vin de pêcher, vin de noix…) ;
vins doux naturels (porto, banyuls) et autres mutés (pineau des Charentes, floc de Gascogne, pommeau…) ;
les vins, qui sont tous susceptibles de trouver un amateur dans cet usage. Les plus consensuels étant :
les vins mousseux et effervescents : champagne blancs et rosés, clairette de Die, saumur blancs et rouges, crémant d'Alsace ou de Bordeaux ;
les vins liquoreux (sauternes, coteaux du Layon, ...), vins de paille… ;
les vins blancs secs ;
les vins enrichis de crème de cassis — on parle alors de kir — ou d'autres crèmes alcoolisées, ou plus simplement de sirop (cassis, mures, pêche…) ;
les préparations à base de vin, comme la sangria ;
• les produits à bas titre alcoolique, bières, cidres, appréciés surtout par temps très chaud ;
• les produits sans alcool tels que sirops et bitters sans alcool (souvent très sucrés), mais aussi infusions ou décoctions fraiches (café frappé, menthe…), lait froid parfumé ou non, jus de fruits ou de légumes (tomate, carotte…)
;
l'eau est un élément important de l'apéritif, soit qu'on la destine à compléter les pastis (eau plate fraîche), soit qu'on veuille offrir une alternative aux convives abstinents en alcool et en sucre (l'éventail des eaux minérales plates ou gazeuses est immense).

Concurso Gastrónomico Inacap Osorno




Rodrigo Ibáñez, invitó a la comunidad a no perderse este nuevo Osorno a Fuego Lento. “compartiremos nuestra metodología del aprender haciendo para realzar las bondades de la cultura agrogastronómica de una forma simple y cercana, para que usted señora o señor, disfrute y vivencie las tendencias y sabores de nuestra Provincia. Los esperamos”, concluyó.


Información de Contacto


Para ver el programa, click en el enlace:http://www.osornoafuegolento.cl/programa.html


Fuente Noticias Inacap www.inacap.cl


lunes, 22 de agosto de 2011

Les fruits





à toi de chercher la correspondance entre image et mot!







Les confiseries et pâtisseries




Exercice vocabulaire du petit déjeuner

Dites: La composition du petit déjeuner ci- dessus. Nommez tous les produits que tu vois et les éléments qui ont été mis sur la table.

Dites: -Quel type de petit déjeuner est illustré sur la photo?, pourquoi?


-Comment appelle-t-on l'assiette qui est posée la première sur la photo?, Quels produits vois-tu?

-Parmi les pains présents sur la photo, lesquels vois-tu?, Nommez-les



Dites: quels éléments de la photo font partie d'un plateau pour le pétit déjeuner à l'étage?


BON TRAVAIL ET COURAGE!






jueves, 18 de agosto de 2011

Les groupes verbaux en français

Les temps verbaux de la conjugaison française




Les 3 groupes


Les verbes français se répartissent en trois groupes, suivant leur terminaison à l'infinitif et leur terminaison à la première personne de l'indicatif présent et du participe présent.

Un verbe appartient à l'un des trois groupes suivants (certains grammairiens parlent de première ou deuxième conjugaison et de verbes irréguliers) :

1 ) Premier groupe concerne les verbes dont le radical est invariable et qui se terminent par "er" à l'infinitif et par "e" à la première personne de l'indicatif présent :
Exemples:-
Adorer, j'adore - Aimer, j'aime.

Sauf le verbe "aller" qui est du troisième groupe.


2 ) Deuxième groupe concerne les verbes dont le radical est invariable et qui se terminent par "ir" à l'infinitif présent et par "issant" au participe présent :
Exemples:- Frémir, frémissant - Finir, finissant.


3 ) Troisième groupe concerne :


a - Théoriquement tous les autres verbes (y compris "aller") :

b - Les verbes terminés en "ir" à l'infinitif et par "ant" au participe présent :
Exemples:- Partir, partant - Sentir, sentant.

c - Les verbes terminés en "oir" :
Exemples:- Recevoir, recevant - Voir, voyant.

d - Les verbes terminés en "re" :
Exemples:- Rendre, rendant - Battre, battant.

Particularités

Les verbes "envoyer" et "renvoyer" du 1er groupe sont
irréguliers au futur et au conditionnel :
- Envoyer, j'enverrai, j'enverrais (s'ils avaient gardé la forme du premier groupe on aurait obtenu : envoyer, j'envoierai, j'envoierais).

Les verbes du premier groupe sont environ 5 000, soit les 9/10e des verbes français. En principe les nouveaux verbes qui enrichissent la langue française appartiennent à ce groupe : informatiser, privatiser, mondialiser.

Les verbes du deuxième groupe sont environ 300, et noter la particularité du verbe "haïr" qui conserve un tréma sur le "i" dans toute la conjugaison, sauf aux trois personnes du singulier de l'indicatif présent, et à la deuxième personne du singulier de l'impératif

Verbes du troisième groupe, irréguliers

Exemple du verbe du troisième groupe: Battre

Les verbes du troisième groupe ou verbes irréguliers, gardent le même radical à tous les temps, mais avec des terminaisons particulières. En font aussi partie les verbes "aller et renvoyer".

A.-
abattre ; se conjugue comme battre
absoudre ;
abstenir (s'); se conjugue comme tenir
abstraire ; se conjugue comme traire
accourir; se conjugue comme courir
accroître ; se conjugue comme croître
accueillir ; se conjugue comme cueillir
acquérir ;
adjoindre; se conjugue comme joindre
admettre ; se conjugue comme mettre
advenir ; se conjugue comme venir
aller ;
apercevoir; se conjugue comme recevoir
apparaître ; se conjugue comme paraître
appartenir; se conjugue comme tenir
appendre ; se conjugue comme rendre
apprendre; se conjugue comme prendre
assaillir ;

asseoir ;
astreindre ; se conjugue comme peindre
atteindre ; se conjugue comme peindre
attendre; se conjugue comme tendre

B -
battre ;
boire ;
bouillir;
braire ; se conjugue comme traire

Pour connaître d'autres verbes du troisième groupe allez sur:
http://www.aidenet.eu/conjugaison05a.htm

Verbes finis en IR, deuxième groupe






Liste alphabétique des verbes du 2e groupe

(Verbes avec infinitif présent en -ir et participe présent en -issant)


Tous ces verbes se conjuguent suivant le modèle du verbe "finir" Le seul verbe de ce groupe à faire exception est haïr.

Cette liste n'est pas exhaustive.

A - abasourdir, abâtardir, abêtir, abolir, s'abolir, abonnir, aboutir, abrutir, s'abrutit, accomplir, s'accomplir, accourcir, accroupir, s'accroupir, adoucir, s'adoucir, affadir, affaiblir, s'affaiblir, affermir, affranchir, agir, agonir, agrandir, s'agrandir, aguerrir, ahurir, aigrir, alanguir, alentir, allégir, alourdir, alunir, amaigrir, amatir, amerrir, ameublir, amincir, amoindrir, amollir, amortir, amuïr, anéantir, anoblir, anordir, aplanir, aplatir, appauvrir, appesantir, applaudir, appointir, approfondir, arrondir, assagir, assainir, asservir, assombrir, assortir, assoupir, assouplir, assourdir, assouvir, attendrir, s'attendrir, atterrir, attiédir, avachir, avertir, aveulir, avilir.



B - bannir, barrir, bâtir, se bâtir, bénir, blanchir, blêmir, blettir, bleuir, blondir, blottir, bondir, bouffir, brandir, bruir, brunir.

C - calmir, candir, chancir, chauvir, chérir, choisir, se choisir, clapir, compatir, cônir, convertir, se convertir, cotir, crépir, croupir.

D - débâtir, débleuir, décatir, décrépir, définir, se définir, défleurir, défraîchir, dégarnir, dégauchir, déglutir, dégourdir, dégrossir, déguerpir, déjaunir, démolir, démunir, dépérir, dépolir, déraidir, désassortir, désemplir, se désemplir, désenlaidir, désépaissir, désétablir, désinvestir, désobéir, dessaisir, se dessaisir, dessertir, désunir, se désunir, déverdir, dévernir, divertir, doucir, durcir.

E - ébahir, ébaubir, ébaudir, éblouir, écatir, échampir, éclaircir, écrouir, effleurir, élargir, embellir, emboutir, embrunir, emplir, s'emplir, empuantir, enchérir, endolorir, endurcir, enforcir, enfouir, engloutir, engourdir, enhardir, enlaidir, ennoblir, enorgueillir, enrichir, ensevelir, envahir, envieillir, épaissir, épanouir, époutir, équarrir, esbaudir, estourbir, établir, s'établir, étourdir, étrécir, évanouir.

F - faiblir, farcir, finir, fléchir, se fléchir, fleurir, forcir, fouir, fourbir, fournir, se fournir, fraîchir, franchir, frémir, froidir.

G - garantir, garnir, gauchir, gémir, glapir, glatir, grandir, se grandir, gravir, grossir, guérir, se guérir.

H - (haïr : voir haut de cette page), havir, hennir, honnir, hourdir.

I - impartir, infléchir, intervenir, invertir, investir, s'investir.

J - jaillir, jaunir, jouir.

L - languir, lotir, louchir.

M - maigrir, matir, mégir, meurtrir, mincir, moisir, moitir, mollir, mugir, munir, se munir, mûrir.

N - nantir, noircir, nordir, nourrir, se nourrir.

O - obéir, obscurcir, ourdir.

P - pâlir, pâtir, pervertir, pétrir, polir, pourrir, se pourrir, préétablir, prémunir, se prémunir, punir.

R - rabonnir, rabougrir, raccourcir, racornir, radoucir, raffermir, rafraîchir, ragaillardir, raidir, rajeunir, ralentir, se ralentir, ramollir, rancir, raplatir, rapointir, ravilir, ravir, réagir, réassortir, rebâtir, reblanchir, rebondir, rechampir, réchampir, reconvertir, redémolir, réfléchir, se refléchir, refleurir, refroidir, se refroidir, regarnir, régir, regrossir, réinvestir, rejaillir, réjouir, se réjouir, rélargir, rembrunir, remplir, se remplir, renchérir, répartir, repolir, resalir, resplendir, ressaisir, ressortir (à), resurgir, ressurgir, rétablir, retentir, rétrécir, rétroagir, réunir, se réunir, réussir, reverdir, roidir, rondir, rosir, rôtir, se rôtir, rougir, rouir, roussir, roustir, rugir.

S - saisir, se saisir, salir, se salir, saurir, serfouir, sertir, sévir, sortir, subir, subvertir, superfinir, surenchérir, surgir, surir.

T- tapir, tarir, tartir, ternir, se ternir, terrir, tiédir, trahir, se trahir, transir, travestir.

U - unir.

V - vagir, verdir, vernir, vieillir, vioquir, vomir, vrombrir.






Pour conjuguer ces verbes allez sur la caisse du conjuguer du blog








martes, 16 de agosto de 2011

Phonétique...pas si facile....





No sé si ya se dijo eso de que un sonido vale más que mil palabras. En todo caso, lo declaro yo hoy.

Ante la normal necesidad de saber cómo se pronuncian las palabras en francés, adjunto un portal de pronunciación bastante fiable: http://www.acapela-group.com/text-to-speech-interactive-demo.html
Funcionamiento:
- en "SELECT A VOICE", elegir "French - Claire" (o Julie, por ejemplo)
- en "TYPE YOUR TEXT HERE", escribir la palabra o la frase cuya pronunciación se quiere oír (ojo con las faltas de ortografía)
- finalmente, cliquear en "SAY IT"

Aquí tienen otra página, tan buena como la anterior: http://www.oddcast.com/home/demos/tts/tts_example.php?sitepal
En esta página, recomiendo las pronunciaciones de Juliette, Sophie, Florence y Olivier. ¡ Pónganlos a prueba!
Dejé una caja para que practiquen su fonética desde el blog , sólo deben escribir la palabra o la oración que deseen practicar. Recuerden que un trabajo perseverante los llevará al éxito.
Espero que les sirva.


Source: Victor Pérez Pérez, Barcelone, Espagne

domingo, 14 de agosto de 2011

Encyclopédia pour la Gastronomie


Encyclopédie Marmipédia

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W Y Z

A l'anglaiseDésigne une méthode de cuisson, à l'eau. On se sert de la vapeur pour les légumes, on met la viande et volaille dans du fond blanc.
AbadèchePoisson membre de la famille des anguilles. Il mesure entre 50 et 120 centimètres, de saveur douce et sucrée. Il se prépare de toutes les façons, poché, vapeur, grillé...
AbaisserDonner une certaine épaisseur à une pâte à l'aide d'un rouleau à pâtisserie, idéalement 3 à 5 millimètres en l'étalant. Le rouleau à pâtisserie ainsi que le plan de travail doivent être légèrement farinés.
AbatsOrganes principaux d'un animal de boucherie, il convient de distinguer les abats rouges: coeur, foie, langue et rognon des abats blancs: cervelle, ris, pieds, tête, tripes.
AbattisLa tête, le cou, les ailerons, le gésier, le foie, le coeur et les pattes constituent les abattis d'une volaille, d'une dinde ou d'un poulet.
AbattoirEtablissement où sont abattus les animaux de boucherie.
AbignadesDans les Landes, "tripes" d'oie préparées avec le sang de l'animal. Se déguste sur du pain frit à la graisse d'oie.
AblettePetit poisson, 15 à 20 centimètres, vivant en eau douce dont les écailles ont un aspect argenté.
AbricotFruit d'été comestible à noyau. La peau et la chair sucrée sont de couleur jaune orangé.
AbricoterRecouvrir un dessert d'une petite couche de confiture ou de gelée.
Abricots secsTraités aux vapeurs de souffre puis séchés au soleil, les abricots secs vendus en France sont importés de Californie, Australie ou Turquie.
AccolerJoindre au cours d'une préparation des éléments afin de réaliser un gâteau.
AccomoderAction de préparer, d'adapter sa préparation en apportant une petite touche locale, ou bien simplement en rajoutant du sel, des épices avant la cuisson. Cela permet de personnaliser sa préparation.

à suivre sur :www.marmiton.org

Les adverbes

L'adverbe est un mot invariable qui est placé à côté d'un verbe, d'un adjectif ou d'un autre adverbe pour en préciser ou en modifier le sens :

- ils sont restés debout...

- nous partirons ensemble...

L'adverbe ne modifie pas un nom.

MANIERE :

bien, comme, mal, volontiers, À bras-le-corps, à califourchon, à la légère, à la va-comme-je-te-pousse, à la va-vite, à l'aveuglette, à loisir, à nouveau, à tire-d'aile, à tire-larigot, à tort, à tue-tête, admirablement, ainsi, aussi, bel et bien, bon marché, comment, d'arrache-pied, de guingois, debout, également, ensemble, exprès, mal, mieux, n'importe comment, pis, plutôt, pour de bon, presque, tant bien que mal, vite,...

LIEU :

ici, ailleurs, alentour, après, arrière, autour, avant, dedans, dehors, derrière, dessous, devant, là, loin, où, partout, près, y, ...

QUANTITE :

quasi, davantage, plus, moins, ainsi, assez, aussi, autant, beaucoup, combien, encore, environ, fort, guère, presque, peu, si, tant ; tellement, tout, très, trop, un peu, etc.

LIAISON :

ainsi, aussi, pourtant, néanmoins, toutefois, cependant, en effet, puis, ensuite... c'est pourquoi, par ailleurs, d'ailleurs, de plus, enfin de compte, par conséquent...

TEMPS :

quelquefois, parfois, autrefois (à distinguer de d'autres fois), sitôt, bientôt, aussitôt, tantôt, alors, après, ensuite, enfin, d'abord, tout à coup, premièrement, soudain, aujourd'hui, demain, hier, auparavant, avant, cependant, déjà, demain, depuis, désormais, enfin, ensuite, jadis, jamais, maintenant, puis, quand, souvent, sur ces entrefaites, toujours, tard, tôt, tout à coup, tout de suite,...

AFFIRMATION :

Assurément, certainement, certes, oui, peut-être, précisément, probablement, sans doute, volontiers, vraiment,...

NEGATION :

Ne […] guère, ne […] jamais, ne […] pas, ne […] plus, ne […] point, ne […] rien, non,...

viernes, 12 de agosto de 2011

Verbes conjugués avec ETRE au passé composé




Verbe auxiliaire ETRE

On l'utilise au présent pour faire le passé composé. Pour former ce temp il nous faut l'auxiliaire et le participe passé du verbe


Voilà l'auxiliaire ETRE


JE SUIS


TU ES


IL, ELLE EST


NOUS SOMMES


VOUS ETES


ILS, ELLES SONT


jueves, 11 de agosto de 2011

Idée créatrice




Apoquindo, agosto de 2011. María Ignacia Bustos, egresó el 2008 de la carrera de Administración en Producción Gastronómica mención Pastelería Internacional. Tres años después la vemos convertida en una emprendedora a través de sus talleres de Pastelería, Coctelería y Cocina en colegios, para niños entre 4 y 10 años.

Por medio de preparaciones cuidadosamente seleccionadas y velando por los intereses de cada niño o niña, Ignacia encontró una manera lúdica, práctica y apetitosa de enseñar, actividad que hoy desarrolla en 2 colegios de Santiago.

La idea de esta ex alumna surge luego de titularse. Tuvo que elaborar un buffet para una celebración y en esa oportunidad los niños de una de sus amigas le pidieron a Ignacia que les enseñara a hacer todas las cosas ricas que ahí había. Les impartió clases durante una semana y se dio cuenta que lo suyo era la educación infantil.

El lema que define su proyecto es: “hacer la materia, aprenderla y luego comérsela”, por lo que aplica recetas fáciles donde los niños pueden por ejemplo, hacer un reloj con sus propias manos y aprender a ver la hora con punteros comestibles y removibles.

Entrevistamos a Ignacia y esto es lo que nos contó acerca de su innovadora propuesta:

¿En qué consiste tu emprendimiento y cuál es el objetivo?

El proyecto consiste en enseñarles a los niños los contenidos de las asignaturas prescritas por el MINEDUC, a través de productos funcionales comestibles, elaborados por ellos. El objetivo principal es crear en los infantes la motivación de aprender e ir con ganas al colegio, siendo yo un puente entre los profesores titulares de cada asignatura y los padres. Así se aliviana la carga a los educadores y los padres pueden destinar “ese tiempo de estudio” para jugar con sus hijos, porque ya han aprendido la materia de una forma lúdica, didáctica, práctica, visual, tangible y comestible.

¿Cómo fue el proceso para poder hacerlo realidad?

El primer semestre participé en un Concurso de emprendimiento, donde una empresaria me asesoró para llevar esta idea al papel mediante un plan de negocios. Una vez terminado, lo presenté en distintos colegios. Me aceptaron en Temuco y me fui a trabajar con todos los implementos para allá.

Hoy trabajas en 2 colegios importantes de Santiago ¿cómo ha sido la percepción de estas instituciones y cuál la reacción de los niños?

Actualmente desarrollo el proyecto en el Colegio Villa María Academy y Santa Úrsula de Vitacura donde hay una recepción positiva y existe apertura a nuevas ideas. Se está llevando a cabo lentamente porque hay que adaptarse y aún me tienen que conocer bien ya que partí en abril de este año. El denominador común de todos los niños que han pasado por este taller es que la motivación que han adquirido por aprender es incuantificable. Como anécdota puedo contar que he tenido niños que asisten a las clases con una mano o pie fracturado, incluso con fiebre. Para ellos no hay impedimento para participar de esta actividad, el estímulo por aprender y el interés que se les crea, es enorme.

¿Cómo ha sido para ti esta experiencia?

Para mí ha sido una experiencia realmente interesante y linda. Descubrí otro mundo y si puedo ayudar y aportar en algo a la educación de Chile, feliz y con gusto lo hago. Este proyecto va a mediano plazo dirigido también a niños de edad indefinida con enfermedades mentales como síndrome de Down, autismo, síndrome de Asperguer, entre otras, con fines terapéuticos, ya que a través de las manos se canalizan las ansiedades y si las mantienen ocupadas, puede haber una mejoría dentro de lo que es su enfermedad. Me encantan las obras sociales. Asimismo, también para infantes de escasos recursos principalmente en riesgo social.

¿Qué mensaje darías a estudiantes de INACAP que como tú, también quieren emprender?

La clave principal para llevar una idea a cabo es actuar con perseverancia, muchísimo esfuerzo, trabajo constante y ser proactivo, jamás dejarse dominar por la flojera y si algo no resulta bien, levantarse nuevamente y seguir adelante. Lo otro que es igualmente fundamental, es que el proyecto no exista en el mercado, que sea innovador, viable, creíble, creativo, original y que tenga permanencia en el tiempo. Hay que ser realistas con lo que uno quiere proponer al mercado. Además es de “perogrullo” hacer un plan de negocios.


Source:http://www.inacap.cl/tportalvp/?t=39&i=2&cc=28406.253&tm=3

miércoles, 10 de agosto de 2011

LA MOUTARDE

MA MOUTARDE PRÉFÉRÉE!!!



La moutarde (du latin mustum ardens, « moût ardent ») est un condiment préparé à partir des graines d'une plante de la famille des Brassicaire, appelée aussi moutarde. Ces graines sont petites, d'un diamètre approximatif de 1 mm. Leur coloration varie entre le blanc jaunâtre et le noir selon les variétés et participent à la teinte du condiment.

La moutarde est répandue dans plusieurs cuisines régionales et continentales. Sur l'ensemble des épices et condiments, la moutarde est le troisième produit le plus consommé dans le monde après le sel et le poivre. Le De re coquin aria d’Apicius du ive siècle est le premier manuscrit culinaire connu à transmettre sa recette. En Inde, les graines de moutarde sont souvent cuites entières pour donner une saveur particulière à l'huile. L'huile extraite des graines est utilisée pour la cuisine au Bengale.

En France, le condiment connu sous le nom de moutarde est constitué des graines (en particulier les blanches), souvent réduites en farine et mélangées à du verjus. D'autres ingrédients peuvent être ajoutés, par exemple du sucre, du miel, du vinaigre, du vin ou du lait. La liste des ingrédients autorisés en France figure dans le décret 2000-658. Les graines entières peuvent être submergées de liquide avant le meulage si l'on veut produire de la moutarde en grain dites à l'ancienne.

En France, la moutarde n'était pas seulement fabriquée à Dijon. Il en était produit à Paris et dans toutes les régions à vignes, autour de Bordeaux, de Tours et de Reims, ceci grâce au vin qui, lorsqu'il tournait, pouvait être recyclé en vinaigre, entrant dans la composition de la moutarde, avec des graines de moutarde broyées, de l'eau, du verjus et des aromates secrets. Cependant dès le xive siècle, la Bourgogne s'en était fait une spécialité. Pour la petite anecdote, la devise de la ville de Dijon est « Moult me tarde ».

Les pots de moutarde, qui constituent un thème de collection prisé, étaient de petits pots en faïence blanche, fermés à l'origine par un bouchon épais en liège, lui-même recouvert d'une capsule en étain, scellée à la cire. Il existait aussi des distributeurs de moutarde au comptoir, auprès desquels la ménagère venait remplir son verre.

En 1937 eut lieu un fameux procès opposant deux moutardiers parisiens à deux moutardiers dijonnais, au sujet de l'appellation « moutarde de Dijon ». La Cour de cassation statua que l'appellation correspondait à une recette et non à un terroir. Ainsi, on put trouver des pots libellés, par exemple : « Bornibus Paris France Moutarde de Dijon au vinaigre fin ».

Après la Seconde Guerre mondiale, il y avait, en France, quelque cent soixante fabricants de moutarde. En 2002 il n'en restait plus que six, la grande distribution étant pour une bonne part responsable de cette concentration.

la Charcuterie






La charcuterie désigne l'ensemble de préparations alimentaires principalement à base de viande de porc crue ou cuite et souvent de sel comme agent de conservation. En Italie, la charcuterie se nomme salumeria, dérivé du mot latin « sal », le sel. La charcuterie utilise l'ensemble des parties du porc. Elle emploie également d'autres viandes, notamment de gibier. Le nombre de spécialités est très élevé, les plus importantes sont les jambons, les pâtés,


les saucisses et saucissons. Le terme désigne aussi le magasin dans lequel se vendent ces produits.


La pratique de la charcuterie remonte à des temps forts anciens, où le salage, le fumage... étaient les seuls moyens disponibles pour conserver efficacement de la viande sans glace ni source de froid type réfrigérateur. Ce sont les Romains qui mirent en pratique une certaine façon d'accommoder les viandes et, plus précisément, celle de porc. Cette viande, il est vrai, se prête bien au salage et au fumage. En France, la profession de charcutier a eu du mal à s'imposer. Ce n'est qu'au xve siècle que les charcutiers obtinrent le droit d'être les seuls à vendre de la viande de porc crue, cuite ou apprêtée. Ils durent attendre le xvie siècle pour avoir l'autorisation de tuer eux-mêmes les cochons. Jusqu'alors, ils achetaient cette viande aux bouchers. Le terme apparu vers le xvie siècle dérive de « chair cuite ». C'est en 1475 à Paris, que la corporation des charcutiers « chair cuitiers » devint autonome et distincte de celle des bouchers qui conservaient le privilège de vendre des chairs fraîches.


Parmi les plats de charcuterie que l'on trouve couramment, on peut citer :


le jambon cru, le jambon blanc ou jambon glacé, le jambon poché, le jambon désossé et moulé en gelée, le jambon roulé, le jambon persillé ;


le jambonneau cru, le jambonneau salé ou fumé ;


l' andouille et l' andouillette ;


le boudin blanc, le boudin noir ;


les crépinettes (petites saucisses plates), la hure, les galantines ;


les multiples saucisses et saucissons frais ou secs ;


les pâtés de campagne, de foie, rillettes…


Une assiette anglaise est un plat froid rassemblant diverses charcuteries.